« Du bien commun de l’humanité aux droits collectifs des agriculteurs »

Cette analyse tente de tirer quelques enseignements des 40 dernières années d’interventions d’organisations de la société civile (OSC), puis d’organisations paysannes (OP), dans les enceintes internationales débattant de la gouvernance mondiale des semences. Ce débat se déroule d’abord concrètement dans les champs et vis-à-vis les lois nationales avant d’atteindre la scène internationale. Il est loin d’être terminé et reste toujours l’objet de vives controverses.

Guy Kastler,

Résumé

Ce témoignage, écrit par un acteur directement engagé dans le débat au nom de la Via Campesina, ne présente pas le point de vue des autres acteurs comme l’industrie ou les gouvernements, mieux à même de s’exprimer eux-mêmes en leur nom, ce qu’ils font largement dans de nombreux autres documents et enceintes. C’est délibérément qu’il ne présente que le point de vue des organisations de petits paysans et de leurs partenaires les plus proches. Il s’appuie sur leur travail collectif, mais n’engage que son auteur.

Ce texte a été rédigé dans la cadre des rencontres d’Octobre 2013 de l’Université internationale Terre Citoyenne (UiTC) ayant eu lieu à Guérande.

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