GRAIN,
L’Équateur, la Bolivie et le Pérou ont récemment pris des mesures qui laissent espérer que certains dispositifs pourraient empêcher la poursuite de la privatisation des savoirs et du vivant. Jusqu’à présent, les progrès ont été décevants. Des questions fondamentales demeurent en suspens. Cette fois encore, c’est aux populations locales qu’il revient de défendre les savoirs et la biodiversité contre les risques de destruction et de privatisation.